La ruée minière

Rencontre avec Célia Izoard, autrice du livre : La ruée minière au XXIe siècle, à Quartier Libre, 11 grande rue à Nancy, le mardi 13 février à 19h.

 

 

Rencontre avec Célia Izoard, autrice, et présentation de son dernier livre : La ruée minière au XXIe siècle, à la librairie Quartier Libre, 11 grande rue à Nancy, le mardi 13 février à 19h.

Elle présentera son livre une deuxième fois le lendemain, mercredi 14 février à 19h à « la Gare » de Luméville, en Meuse, sur la RD138 (près de Bure). Repas prévu sur place.

« Mines vertes », « hydrogène », »géothermie », « lithium »… Ces termes scientifico-industriels pullulent dans des revues se revendiquant souvent de l’écologie.
Mais de quel monde sont-ils porteurs ? Quel futur dessinent-ils ?

Un cycle de soirées-débats débutant ce 13 février 2024, pensé autour de la venue d’intervenant.e.s, nous permettra de nous informer sur le bourbier des pseudo alternatives écolo promues par les industriels.

La « transition écologique » n’est pas un concept abstrait. Elle recouvre des implications matérielles et sociales à mesurer et discuter ; choisir ou refuser, ensemble.

 

 

Des élèves à la conquête du passé

« Des élèves à la conquête du passé » : Faire de l’histoire à l’école primaire » Rencontre le vendredi 9 février à 19h à Quartier Libre

 

 

Rencontre le vendredi 9 février de 19h à 22h à la Bibliothèque/Librairie associative Quartier Libre, 11 Grande Rue à Nancy.

 

« Faire de l’histoire à l’école primaire ».

Ce livre dévoile dix ans d’expérimentation pédagogique autour de l’histoire.

Au gré d’enquêtes, fictions historiques, expositions au contact des sources, à la recherche de traces et de témoignages, les élèves travaillent le rapport au temps et à l’histoire scolaire, les filiations faites de guerres, les migrations et l’histoire coloniale, la vie quotidienne des enfants et des classes populaires.

Pour l’autrice, la pratique dès l’école primaire de la méthode historique, scientifique et minutieuse, vise l’émancipation intellectuelle. Elle livre ici ses questionnements et gestes pédagogiques, sans cesse sur le fil entre processus d’identification et distanciation, méthode naturelle d’apprentissage et production d’un savoir expert.

L’autrice

Magali Jacquemin, membre de l’Icem-Pédagogie Freinet et du collectif Questions de classe(s), est professeure des écoles en éducation prioritaire. Historienne, ancienne militante des luttes de mal-logé·es, de sans-papiers ou de réseaux altermondialistes, elle conçoit son métier comme un acte politique : permettre aux élèves de se rendre auteurices de leurs savoirs, de prendre en main la vie de la classe, avec l’espoir de les voir construire un monde juste, paisible et ambitieux. »

 

« MALIKA »

« Malika. Généalogie d’un crime policier » le 13/01 à QL à 18h

 

Rencontre avec l’autrice Jennifer Yezid autour de de son livre « Malika. Généalogie d’un crime policier »

 

Samedi 13 janvier 18h à Quartier Libre (Nancy) : Rencontre avec l’autrice Jennifer Yezid autour de de son livre « Malika. Généalogie d’un crime policier » (éditions Hors-d’Atteinte).

« Jennifer Yezid est la nièce de Malika Yezid, tuée en 1973 par un gendarme alors qu’elle avait huit ans. C’est aussi la seule survivante de sa famille. Avec Asya Djoulaït, écrivaine, et Sami Ouchane, historien, elle raconte les répercussions de ce crime injuste et impuni sur sa famille, mais aussi le sens de la justice et de la vérité, la soif de vivre qui l’animent et l’amènent à parler aujourd’hui. »

À Quartier Libre

Samedi 13 janvier 18h – 11 Grande rue à Nancy.

Plus d’info: https://manif-est.info/Rencontre-avec-l-autrice-Jennifer-Yezid-autour-de-de-son-livre-Malika-2691.html

https://www.infolibertaire.net/chronique-lecture-malika-genealogie-dun-crime-policier/

Nunatak #8

Samedi 2 décembre à 17h

Rencontre-discussion autour de la revue « NUNATAK # 8
revue d’histoires, cultures et luttes des montagnes
en présence des membres du collectif

Samedi 2 décembre à 17h

Rencontre-discussion autour de la revue « NUNATAK # 8
revue d’histoires, cultures et luttes des montagnes
en présence des membres du collectif

La revue Nunatak se veut un support pour développer et partager nos critiques, depuis les régions montagneuses que nous habitons. Nous désirons aussi chercher des moyens de concrétiser notre opposition au monde tel qu il se présente à nous, dévier du sentier balisé des flux de la marchandise et de l’autorité, nous attaquer à ce qui nous sépare les uns des autres, nous plonger dans les histoires que racontent les ruisseaux, les êtres, les arbres ou les rochers…

 

  • Mardi 28 novembre à 16h30 à la Médiathèque de Villé, 21 place du Marché à Villé (67220).
  • Mercredi 29 novembre à 19h30 au Val Avenir, 60 rue Wilson à Sainte-Marie-aux-Mines.
  • Jeudi 30 novembre (horaire à préciser) à L’Augustine, 2 rue de Vinelle à Mandres-en-Barrois (55290).
  • Vendredi 1er décembre (horaire à préciser) à La Libraire, 21 boulevard Kelsch à Gérardmer.
  • Samedi 2 décembre à 17h à Quartier Libre, 11 Grande rue à Nancy.
  • Dimanche 3 décembre (horaire à préciser) à Papier Gâchette, 6 rue du Rempart à Strasbourg.

 

 

Contre la résilience

présentation du livre « Contre la résilience. À Fukushima et ailleurs » de Thierry Ribault. Le vendredi 01/12 à 19h à Quartier Libre

 

Le 1er décembre à 19h à Quartier Libre (11 Grande rue à Nancy), présentation du livre « Contre la résilience. À Fukushima et ailleurs », de Thierry Ribault, paru aux éditions L’Échappée.

Funeste chimère promue au rang de technique thérapeutique face aux désastres en cours et à venir, la résilience érige leurs victimes en cogestionnaires de la dévastation. Ses prescripteurs en appellent même à une catastrophe dont les dégâts nourrissent notre aptitude à les dépasser. C’est pourquoi, désormais, dernier obstacle à l’accommodation intégrale, l’« élément humain » encombre. Tout concourt à le transformer en une matière malléable, capable de « rebondir » à chaque embûche, de faire de sa destruction une source de reconstruction et de son malheur l’origine de son bonheur, l’assujettissant ainsi à sa condition de survivant.

À la fois idéologie de l’adaptation et technologie du consentement à la réalité existante, aussi désastreuse soit-elle, la résilience constitue l’une des nombreuses impostures solutionnistes de notre époque. Cet essai, fruit d’un travail théorique et d’une enquête approfondie menés durant les dix années qui ont suivi l’accident nucléaire de Fukushima, entend prendre part à sa critique.

La résilience est despotique car elle contribue à la falsification du monde en se nourrissant d’une ignorance organisée. Elle prétend faire de la perte une voie vers de nouvelles formes de vie insufflées par la raison catastrophique. Elle relève d’un mode de gouvernement par la peur de la peur, exhortant à faire du malheur un mérite. Autant d’impasses et de dangers appelant à être, partout et toujours, intraitablement contre elle.

La bataille de la sécu

Vendredi 17 novembre à 19h: Rencontre-discussion autour du livre « La bataille de la sécu » à Quartier libre

 

Vendredi 17 novembre à 19h: Rencontre-discussion autour du livre
« La bataille de la sécu » :
Une histoire du système de santé
paru aux éditions La fabrique en présence de l’auteur Nicolas Da Silva à Quartier libre

 

Préfacé par Bernard Friot, ce livre traite de l’invention du régime général de sécurité sociale en 1946 qui n’a pas été le fait d’un consensus national inédit comme on l’entend souvent, mais le produit d’une histoire longue et conflictuelle dont La bataille de la Sécu offre un panorama.

Si la Révolution française pose comme jamais auparavant la question de l’intervention de l’État dans le domaine de la santé, elle ne conduit pas à un bouleversement des institutions du soin pourtant rendu nécessaire par le développement du capitalisme. Les premières réponses viennent au XIXe siècle des travailleurs qui organisent dans les mutuelles la solidarité. L’État n’intervient que modérément dans un souci de maintien de l’ordre social jusqu’à ce qu’il entraîne la population dans l’enfer des guerres mondiales, s’obligeant à investir massivement dans les soins.

Deux logiques antagoniques s’affrontent en 1946 qui éclairent les évolutions du système de santé en France jusqu’à aujourd’hui : à la « Sociale », fondée sur l’autogouvernement du système de santé par les intéressés eux-mêmes, s’oppose « l’État social », né de la « guerre totale », qui fait de la protection sociale un instrument de contrôle de la population. L’étatisation de la sécurité sociale qui est à l’agenda des classes dirigeantes dès 1946 en a subverti le principe de solidarité, ouvrant la voie à un capitalisme sanitaire dont on ne cesse de constater les dégâts. La pandémie a mis en lumière l’absurdité de ces évolutions et l’impérieuse nécessité de reprendre le pouvoir sur la Sécu.

Hardi, compagnons!

Rencontre-discussion autour du livre « Hardi, compagnons! » à Quartier libre. Vendredi 10 novembre à 20h. En coordination avec Nanara.

 

Vendredi 10 novembre à 20h
En coordination avec la bibliothèque féministe Nanara

Rencontre-discussion autour du livre« Hardi, compagnons! » : Masculinité et virilité anarchiste à la belle époqueparu aux éditions Libertalia en présence de l’autrice Clara Schildknecht à Quartier libre


Cet ouvrage aborde d’une façon novatrice, par le prisme de la domination de genre, un sujet d’études déjà défriché par les historien·nes : la constellation anarchiste française, dans ses diverses composantes (syndicalistes, illégalistes, milieux libres), entre 1871 et 1920. On y croise Ravachol et la bande à Bonnot, Émile Pouget, Louise Michel, Rirette Maîtrejean, Vigo, Libertad, Madeleine Pelletier, Germaine Berton, E. Armand, Henriette Roussel…
L’autrice analyse le rapport à la violence souvent héroïsée et s’interroge sur la glorification virile, l’homophobie et la phraséologie misogyne qui avaient trait dans le milieu. Elle aborde la réappropriation des marqueurs de virilité par certaines militantes, le paraître libertaire, les tentatives d’égalité. Ce faisant, elle propose une relecture stimulante et passionnante de ces années charnières.

Clara Schildknecht est enseignante. Ce livre est issu d’un M2 soutenu au Centre d’histoire du XIXe siècle de l’université Paris 1 Panthéon-Sorbonne.

« Régime Général »

« Régime Général pour une Sécurité sociale de l’Alimentation » le 7 octobre à 17h à Quartier Libre

Présentation du livre « Régime Général pour une Sécurité sociale de l’Alimentation » à Quartier Libre

Présentation du livre « Régime Général pour une Sécurité sociale de l’Alimentation » le samedi 7 octobre à 17h à la librairie/bibliothèque associative Quartier Libre (dans le local du Geyser, 11 Grande Rue à Nancy) en présence d’un des auteurices, Kévin Certenais, qui est membre de l’association d’éducation populaire Réseau Salariat.

« Régime Général n’est pas un livre de recettes minceur. Il s’attaque à la question du patriarcat.

Régime Général n’est pas un livre sur les bananes. Il parle de l’exploitation des peuples par les États colonisateurs et les multinationales.

Régime Général observe notre système alimentaire (production, transformation, distribution, consommation) sous toutes ses coutures et propose de se lever de table pour renverser l’ordre établi. C’est une réflexion qui s’appuie sur l’une des grandes conquêtes de la classe ouvrière : le régime général de Sécurité sociale.

Son propos se déploie autour de cinq axes : travail, propriété, gouvernance, investissement et finalités. Ces thèmes sont imbriqués, avec une visée féministe et décoloniale.

Régime Général ébauche une proposition de Sécurité sociale de l’alimentation. Il rend tangible et désirable un système alimentaire postcapitaliste qui contribuera à la lutte contre le patriarcat et le néocolonialisme. »

Laura Petersell et Kévin Certenais sont militant·es et membres de l’association d’éducation populaire Réseau Salariat.

« Déraillée » 28.09 à 19h

Présentation de la BD le 28 septembre à 19h à Quartier Libre

Présentation de la BD « Déraillée » à Quartier Libre

Déraillée, BD de Jo Mouke et Julien Rodriguez.

« Ici on s’habitue à tout. La douleur est partout. Elle suinte des pores, des murs, elle se murmure ou se hurle, se bouscule en torrents flous… »

Déraillée, c’est un plongeon dans la vie de Pénélope Renard, héroïne tragi-comique aux prises avec la dépression et l’addiction. Avec pour point de départ son admission aux urgences psychiatriques un matin de Saint-Valentin, son journal de bord aux allures d’Odyssée sédatée nous livre un témoignage sur la réalité du parcours de soin d’une jeune femme ordinaire dans les méandres de l’HP-kistan.

Présentation de la BD le 28 septembre à 19h à la librairie/bibliothèque associative Quartier Libre (11 Grande Rue à Nancy) en présence de l’autrice et de l’illustrateur.

1312 raisons…

Gwenola Ricordeau présente son livre « 1312 raisons d’abolir la police » le 16/6/23 à Quartier Libre

Gwenola Ricordeau présente son livre paru aux éditions LUX intitulé « 1312 raisons d’abolir la police » à Quartier Libre (11 Grande-Rue à Nancy) vendredi 16 juin à 19h.

D’où vient l’idée d’abolir la police et que recouvre-t-elle au juste ? Si la police ne nous protège pas, à quoi sert-elle ? Comment dépasser la simple critique de la police pour enfin en finir avec elle ?

1312 raisons d’abolir la police tente de répondre à ces questions, et propose de riches réflexions critiques sur les liens entre l’abolitionnisme pénal et la race, le handicap ou le travail sexuel notamment. L’ouvrage porte également sur les mobilisations contemporaines pour l’abolition de la police en Amérique du Nord, en retraçant leur généalogie et en explorant leurs propositions stratégiques, leurs expériences et les débats qui les traversent.

Les textes rassemblés dans cette anthologie commentée brossent un portrait vif et puissant du mouvement pour l’abolition de la police, dans toutes ses nuances et hors des clichés réducteurs.

Entrée libre!

L’éducation intégrale

Rencontre-discussion autour du livre: L’éducation intégrale pour une émancipation individuelle et collective (ACL) en présence de Mathieu Depoil, co-auteur du livre. Le 09/06/23 à 19h

Vendredi 9 juin à 19h00
Rencontre-discussion autour du livre
L’éducation intégrale
pour une émancipation individuelle et collective
paru aux éditions ACL
en présence de Mathieu Depoil, co-auteur du livre

 » En travaillant sur l’éducation intégrale, Mathieu Depoil, Fabien Groeninger, Delphine Patry et Sylvain Wagnon ont conscience de réfléchir à un thème universel, celui de l’éducation, mais aussi à une certaine vision de l’humain et de la société. La force de l’éducation intégrale est bien là  : permettre à chaque personne de penser et d’agir au sein de la société, et d’envisager sa propre vie avec celle des autres. Leur travail met en lumière l’actualité et les perspectives d’une démarche émancipatrice individuelle et collective.

« Un ouvrage profondément humain, historique et scientifique, permettant de définir l’éducation intégrale à partir des textes du péda­gogue anarchiste Paul Robin. »

 

Entrée libre

Le consumérisme…

Discussion avec Jeanne Guien, le mercredi 24 mai autour de ses livres « Le consumérisme à travers ses objets » et une « Histoire des produits menstruels »

Rencontre-discussion avec Jeanne Guien autour de ses 2 livres : « Le consumérisme à travers ses objets » et une Histoire des produits menstruels (Éditions Divergences).

Le Mercredi 24 mai à 19h à Quartier Libre (11 Grande Rue , Nancy)

« Le consumérisme à travers ses objets : gobelets, vitrines, mouchoirs, smartphones et déodorants »

« Qu’est ce que le consumérisme ? Comment s’habitue-t-on à surconsommer, au point d’en oublier comment faire sans, comment on faisait avant, comment on fera après ? Pour répondre à ces questions, Jeanne Guien se tourne vers des objets du quotidien : gobelets, vitrines, mouchoirs, déodorants, smartphones. Cinq objets auxquels nos gestes et nos sens ont été éduqués, cinq objets banals mais opaques, utilitaires mais surchargés de valeurs, sublimés mais bientôt jetés. En retraçant leur histoire, ce livre entend montrer comment naît le goût pour tout ce qui est neuf, rapide, personnalisé et payant. Car les industries qui fabriquent notre monde ne se contentent pas de créer des objets, elles créent aussi des comportements. Ainsi le consumérisme n’est-il pas tant le vice moral de sociétés « gâtées » qu’une affaire de production et de conception. Comprendre comment nos gestes sont déterminés par des produits apparemment anodins, c’est questionner la possibilité de les libérer.

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Une histoire des produits menstruels

« Loin d’être un phénomène purement biologique, les règles et plus généralement le cycle menstruel forment une expérience socialisée. Chaque société développe une culture menstruelle dominante, faite de pratiques, techniques et représentations plus ou moins acceptables. Ce livre étudie la culture menstruelle propre aux sociétés consuméristes, dans lesquelles toute expérience (notamment, toute expérience du corps) tend à être associée à des produits marchands. À travers l’histoire de trois produits menstruels – les serviettes jetables, les tampons jetables et les applications de suivi du cycle menstruel – l’auteure poursuit son enquête sur le consumérisme, les objets du quotidien et le dressage des corps « féminins ». »

JEANNE GUIEN est militante et chercheuse, spécialisée en philosophie des techniques et en histoire industrielle. Ancienne élève de l’école Normale supérieure elle est docteure et agrégée en philosophie. Elle co-anime l’émission Aux Ressources sur Hors Série. Ses autres recherches portent sur le gaspillage alimentaire, l’écologie politique, les conditions de travail dans le secteur de la collecte et de la récupération des déchets.

Un article d’elle récemment paru sur Contretemps : https://www.contretemps.eu/greve-eboueurs-retraites-dechet-lutte-guien/

Entrée libre

*Petite buvette et grignotage

Soirée solidaire

Soirée de solidarité avec la lutte des peuples péruviens. Le 28 janvier à partir de 17h

 

Samedi 28 janvier à partir de 17h00
au 11 grande rue à Nancy
Solidarité avec la lutte des peuples péruviens
 
En solidarité avec la lutte des peuples péruviens qui vivent actuellement une période de crise politique et sociale violente,
Quartier libre propose de se retrouver samedi 28 janvier dans la salle du geyser au 11 grand rue pour échanger, discuter, s’informer et se mobiliser de façon conviviale.
 
Au programme à partir de 17h:
Projection documentaire « Protestas, propuestas, procesos » (VF, 50′, 2017)  expo photo, conversation sur la « Révolte péruvienne » avec des membres du centre social Manuel Gonzalez Prada à Lima investis dans des actions de solidarité populaire autogérées,
buvette, grignotage à prix libre et tombola en musique.
Venez nombreux.ses !

Tous les bénéfices de la soirée seront versés en soutien aux actions du centre social Manuel Gonzalez Prada de Lima et à la coordination en faveur des victimes de la répression de l’état péruvien.

« Révolutionnaires »

Le vendredi 20/01/23 à 19h à Quartier Libre: rencontre-discussion autour du livre « Révolutionnaires, Récits pour une approche féministe de l’engagement » en présence du collectif d’autrices.

 

Le vendredi 20/01 à 19h à Quartier Libre: rencontre-discussion autour du livre « Révolutionnaires, Récits pour une approche féministe de l’engagement » en présence du collectif d’autrices.

Le livre:
Des années 1960 à nos jours, de l’Italie à la France, de l’Uruguay à la Suisse en passant par l’Allemagne soviétique, six récits de vie, par des femmes engagées dans des mouvements révolutionnaires, pour scruter l’imbrication du collectif et de nos vies intimes, les ressorts de l’engagement et la manière dont il modèle nos vies.

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LE COLLECTIF D’AUTR·ICE·S :
Recueil d’entretiens réalisé et coordonné par l’Atelier des Passages
Quelques intervieweu·ses nées dans les années 1980 et 90, qui avons l’âge d’être leurs filles ou leurs petites-filles. Nous désirons fixer les paroles de ces militant·e·s parce que le temps file et que nous n’avons pas assez entendu leurs voix. Elles sont autant de figures inspirantes qui soutiennent nos propres engagements. Elles nous aident à reconstituer la généalogie de nos convictions féministes et révolutionnaires en fouillant dans un passé très récent, encore vivant.

 

« L’Envolée »

Le samedi 10 décembre 2022 à 18h à Quartier Libre (11 grand’rue à Nancy), l’Infokiosque Nancy vous invite à une présentation du journal « L’Envolée ».

 

Le samedi 10 décembre 2022 à 18h à Quartier Libre (11 grand’rue à Nancy), l’Infokiosque Nancy vous invite à une présentation du journal « L’Envolée » suivie d’une discussion autour du dernier numéro qui viendra de paraître.

L’Envolée, c’est quoi ?

L’Envolée se veut un porte-voix pour les prisonniers et prisonnières qui luttent contre le sort qui leur est fait. Le journal publie des lettres, des comptes rendus de procès, et des analyses sur la société et ses lois.

Le journal prolonge le travail mené par des émissions de radio qui maintiennent un lien entre l’intérieur et l’extérieur des prisons, hors du contrôle de l’administration pénitentiaire (AP).

Le journal est réalisé par des ex-prisonnier·e·s, des proches de prisonnier·e·s et d’autres qui savent que la prison plane au-dessus de nos têtes à tous. Il est primordial de faire exister la parole des prisonnier·e·s qui sont les mieux placés pour décrire leur quotidien, dénoncer leurs conditions de détention, les violences qu’ils et elles subissent et critiquer la prison.

Une parole qui sort de la prison constitue un acte politique qui dérange l’ordre des choses, surtout quand cette parole est collective. Nous sommes convaincu·e·s que les mots inspirent et nourrissent la lutte contre la justice et l’enfermement. La prison est le ciment nécessaire à l’État pour permettre au capitalisme de se développer.

Prisons et justice servent principalement à enfermer la misère. En jouant son rôle de repoussoir social, l’enfermement carcéral produit la peur nécessaire au maintien de cette société. Ainsi la prison sert aussi à enfermer dehors. Ce journal existe depuis 2001 malgré les censures de l’AP, malgré les poursuites pour diffamation, malgré nos faibles moyens.

(https://lenvolee.net/qui-sommes-nous/)

Revue Z

Présentation/discussion avec des membres de la revue Z autour du # 15 « Montagne limousine / forêts désenchantées le mercredi 23 novembre à 19h à Quartier Libre.

 

Présentation/discussion avec des membres de la revue Z autour du # 15 « Montagne limousine / forêts désenchantées le mercredi 23 novembre à 19h à la Bibliothèque-Librairie Quartier Libre, 11 Grande Rue à Nancy.

 

Depuis les plantations d’arbres qui quadrillent la Montagne limousine, la revue Z s’attaque à la sylviculture industrielle qui détruit les sols comme les corps des personnes qui y travaillent. Avec celles et ceux qui se battent pour des usages populaires et collectifs des forêts, on tente de faire entendre des voix trop souvent recouvertes par le vacarme des machines.

Entrée Libre

Plus d’infos sur: https://ladernierelettre.fr/produit/revue-z-n15-montagne-limousine-forets-desenchantees/

Cette rencontre s’inscrit dans le programme de la semaine qui précède le procès en appel des Malfaiteur-euses – et pendant laquelle se dérouleront des ateliers, conférences, spectacles dans différents lieux sur Nancy (voir programme ci-dessous) avec un point d’orgue le samedi 26 novembre.

 

https://noussommestousdesmalfaiteurs.noblogs.org/files/2022/11/affiche_programme-page002.jpg

Plus d’infos sur: https://noussommestousdesmalfaiteurs.noblogs.org/

Terre et Liberté

Rencontre-discussion  avec Aurélien Berlan autour de son dernier livre « Terre et liberté: (Éditions La Lenteur 2021) ,  le jeudi 10 novembre, à 18h30, à Quartier Libre, 11 Grande Rue, Nancy

 

Le collectif de Quartier Libre  vous invite à une rencontre-discussion  avec Aurélien Berlan autour de son dernier livre « Terre et liberté: La quête d’autonomie contre le fantasme de délivrance » (Éditions La Lenteur 2021) ,  le jeudi 10 novembre, à 18h30, à la bibliothèque-librairie Quartier Libre, 11 Grande Rue, 54000 Nancy
Entrée libre.

« Dans la plupart des civilisations ou des milieux sociaux, l’idée de la liberté qui prévaut est de pouvoir se décharger de la vie matérielle, des tâches de subsistance : sur les esclaves, sur les travailleurs manuels et les femmes, sur les machines… Dans cet essai philosophique remarquable, Aurélien Berlan ravive une conception opposée, subalterne, de la liberté portée par des mouvements populaires d’hier, en Occident, et des mouvements paysans d’aujourd’hui, dans les pays du Sud (en Inde et au Mexique, en premier lieu) : la prise en charge collective et égalitaire des besoins de base, des besognes nécessaires à la vie sur terre.
Contre le rêve de délivrance, le projet d’autonomie , contre le libéralisme, le marxisme et notre société de services néo-domestique, la réappropriation de la part matérielle de nos vies ».

À propos de l’auteur

Né en 1976, Aurélien Berlan a étudié la philosophie et la sociologie en France (École normale supérieure Lettres et sciences humaines, universités de Nanterre et de Rennes) et en Allemagne, à Berlin puis à Francfort où il a fait sa thèse sous la direction d’Axel Honneth (publiée en partie sous le titre La Fabrique des derniers hommes. Retour sur le présent avec Weber, Simmel et Tönnies, La Découverte, 2012).

Malgré l’obtention du prix de la meilleure thèse de philosophie décerné tous les trois ans à Francfort, il s’est ensuite installé à la campagne pour vivre de manière plus cohérente avec ses analyses du monde industriel. Depuis, il vit de vacations dans diverses universités, de traductions (il a traduit Fabian Scheidler, La Fin de la mégamachine. Sur les traces d’une civilisation en voie d’effondrement, Le Seuil, 2020, ainsi que Max Weber, La Ville, La Découverte, 2014) et d’activités vivrières et artisanales. Il consacre aussi une partie de son temps aux luttes contre la dévastation du monde (il s’est notamment engagé dans la lutte contre le barrage de Sivens : voir Sivens sans retenue. Feuilles d’automne 2014, La Lenteur, 2015). Depuis 2003, il contribue aux écrits du groupe Marcuse : De la misère humaine en milieu publicitaire. Comment le monde se meurt de notre mode de vie, La Découverte, 2004 ; La Liberté dans le coma. Essai sur les motifs de l’indentification électronique et les moyens de s’y opposer, La Lenteur, 2013.

Discussion

Le Jeudi 20 octobre (20h): Rencontre avec Corinne Morel Darleux autour de trois de ses ouvrages.

 

Jeudi 20 octobre (20h)
Présentation/discussion avec Corinne Morel Darleux autour de trois de ses ouvrages
La sauvagière (éditions Dalva 2022) – roman
La Sauvagière est une fable onirique qui nous invite à repenser le lien qui nous unit au monde, loin des constructions et des contingences modernes.
Page après page, dans ce premier roman, Corinne Morel Darleux nous plonge dans un univers puissamment poétique où les sens deviennent maîtres et où notre humanité
se métamorphose au contact du bois humide et sous les caresses du vent.
Là où le feu et l’ours. Histoire de Violette (éditions Libertalia 2021) – roman
Là où le feu et l’ours. Histoire de Violette est le récit de la rencontre d’une jeune femme et d’un ours nouveau-né.
Leur périple, dans une steppe parcourue de vents de feu, les mènera jusqu’à l’Oasis, un lieu foisonnant
qui leur réserve bien des surprises…
Plutôt couler en beauté que flotter sans grâce (éditrions Libertalia 2019) – essai
Dans cet essai philosophique et littéraire rédigé à la première personne, la militante écosocialiste Corinne Morel Darleux
 questionne notre quotidien en convoquant le navigateur Bernard Moitessier, les lucioles de Pasolini ou Les Racines du ciel de Romain Gary.
 Elle propose un choix radical : refuser de parvenir et instaurer la dignité du présent pour endiguer le naufrage généralisé.